
L’île de Bali attire chaque année des millions de visiteurs séduits par ses plages paradisiaques et sa culture unique. Par contre, derrière cette image de carte postale se cache une réalité bien plus complexe. Les témoignages de voyageurs révèlent des problématiques majeures qui poussent certains à déconseiller cette destination. Entre risques sécuritaires, dégradation environnementale et harcèlement touristique, plusieurs raisons expliquent pourquoi certains voyageurs choisissent d’éviter Bali.
Risques sécuritaires et sanitaires à éviter
Bali présente de multiples dangers naturels qui menacent constamment les voyageurs. Située sur la ceinture du feu du Pacifique, l’île subit régulièrement des catastrophes naturelles : éruptions volcaniques, séismes, tsunamis, inondations et glissements de terrain. Le tsunami dévastateur de décembre 2004 a causé plus de 160 000 victimes en Indonésie, rappelant la vulnérabilité de cette région.
Les routes indonésiennes constituent un autre péril majeur. L’état dégradé des infrastructures, combiné à une circulation chaotique durant la saison des pluies, crée des conditions de conduite extrêmement dangereuses. La présence d’animaux et de piétons sur les chaussées, la densité du trafic et les comportements irresponsables des conducteurs multiplient les risques d’accidents. La plupart des incidents impliquent des deux-roues, mode de transport privilégié sur l’île.
Sur le plan sanitaire, plusieurs maladies transmises par les moustiques menacent les visiteurs : chikungunya, dengue, encéphalite japonaise et Zika. Les morsures d’animaux dangereux comme les serpents terrestres, vipères des îles et cobras représentent également un risque réel. L’alcool frelaté, notamment l’Arak traditionnel, peut contenir des produits chimiques toxiques potentiellement mortels.
Type de risque | Exemples | Niveau de danger |
---|---|---|
Naturels | Éruptions, séismes, tsunamis | Élevé |
Routiers | Accidents de moto, état des routes | Très élevé |
Sanitaires | Maladies vectorielles, alcool frelaté | Modéré à élevé |
Sécuritaires | Menace terroriste, violence politique | Modéré |
Pollution massive et harcèlement touristique constant
Contrairement aux promesses des brochures touristiques, la réalité de Bali ressemble davantage aux défis, il faut naviguer entre de nombreux pièges pour espérer tirer son épingle du jeu. La pollution omniprésente frappe immédiatement les visiteurs. Les flots incessants de deux-roues créent une pollution sonore, olfactive et visuelle permanente, particulièrement dans la ceinture de Denpasar et à Kuta.
La gestion désastreuse des déchets constitue l’un des aspects les plus choquants. La majeure partie de la population n’a d’autre choix que de jeter ou brûler ses déchets, faute de système de ramassage organisé. Des détritus jonchent l’île, même aux abords d’Ubud. Les marées rabattent constamment les déchets accumulés en mer sur les plages, où certains habitants les enterrent directement dans le sable.
Le harcèlement touristique atteint des niveaux insupportables. Les voyageurs décrivent des sollicitations constantes de vendeurs surnommés « moustiques du pied ». Sur les plages, les touristes subissent des propositions toutes les 30 secondes pour des massages ou achats de bijoux. Dès l’arrivée à l’aéroport, une nuée de chauffeurs propose leurs services avec des prix variant du simple au quadruple.
Les arnaques se multiplient sous diverses formes :
- Double tarification discriminatoire entre locaux et étrangers
- Techniques de déconcentration dans les bureaux de change
- Faux distributeurs automatiques avalant les cartes bancaires
- Chauffeurs refusant d’utiliser les compteurs
- Négociation forcée après validation des courses VTC
Parallèle inattendu : pourquoi il ne faut pas aller à Bali et les meilleurs casinos en ligne en Belgique
À première vue, éviter Bali pour des raisons de sécurité, d’infrastructure ou d’environnement, et choisir un casino en ligne belge de qualité, n’ont aucun point commun… Et pourtant, dans les deux cas, il s’agit d’opter pour la sécurité et la fiabilité.
Dans le cas de Bali, plusieurs facteurs incitent à la prudence : les plages populaires présentent des courants forts et restent souvent non surveillées, entraînant des accidents graves. Les transports maritimes sont également préoccupants : des bateaux surchargés, des normes de sécurité parfois ignorées, et des drames récents ont fait des victimes. On recense également des risques liés à la consommation d’alcool frelaté (poison au méthanol), des infractions culturelles pouvant être pénalisées, ainsi que des crues de déchets, embouteillages et dégradation environnementale causés par le tourisme de masse.
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Mafia touristique et maltraitance animale généralisée
Le système mafieux qui gangrène certaines zones touristiques constitue une réalité préoccupante. Le Mont Batur illustre parfaitement cette problématique avec son système de guides prétendument obligatoires. Cette obligation, présentée comme une exigence gouvernementale liée au statut UNESCO, relève davantage d’un racket organisé que d’une réelle nécessité sécuritaire.
Les touristes sans guide subissent des intimidations graves : menaces de mort, agressions physiques et accidents arrangés. Des groupes de locaux patrouillent les sentiers pour intercepter les randonneurs non accompagnés. Cette mafia touristique s’étend à d’autres domaines : parkings gratuits devenus subitement payants, droits de passage pour circuler dans certains quartiers, guides obligatoires dans les temples.
La maltraitance animale choque de nombreux visiteurs sensibles au bien-être animal. Des milliers de chiens errants vivent le long des routes sans soins appropriés, couverts de puces et maladies. Ces animaux servent de gardiens aux familles mais ne reçoivent aucun respect ni traitement vétérinaire.
L’exploitation touristique des animaux prend diverses formes troublantes : serpents, iguanes et chauves-souris maintenus en captivité près des sites touristiques, balades à dos d’éléphant dans certains parcs. Les pratiques traditionnelles persistent également avec les rituels de sacrifice de tortues et les combats de coqs illégaux mais tolérés, où les animaux subissent des conditions de détention cruelles.
Surdensité touristique et perte d’authenticité culturelle
Bali subit les conséquences dramatiques du tourisme de masse. Avec 4 millions d’habitants accueillant 6 millions de touristes annuels, l’île s’asphyxie littéralement. Cette surpopulation engendre une pollution généralisée et une érosion progressive de la culture balinaise au profit des valeurs commerciales. La comparaison est saisissante : 750 000 touristes visitaient l’Indonésie en 1985 contre 8,8 millions aujourd’hui.
Les zones touristiques emblématiques ont perdu leur authenticité originelle. Kuta, Seminyak, Sanur et même Ubud ne sont plus que des successions de salons de massage, restaurants et boutiques de luxe. Ubud, autrefois présentée comme le cœur culturel de l’île, s’est transformée en centre commercial vendant des objets de mauvaise facture à prix exorbitants.
La circulation infernale paralyse les principales agglomérations. Kuta, Seminyak et Denpasar connaissent des embouteillages de 9h à 22h, avec des trottoirs envahis par les motos tentant de se frayer un passage. Cette situation crée une pollution atmosphérique constante et rend les déplacements pénibles.
L’impact environnemental du tourisme s’avère considérable. La consommation moyenne de 300 litres d’eau par chambre d’hôtel et par jour exerce une pression insoutenable sur les ressources naturelles. Les récifs coralliens, jadis exceptionnels, sont aujourd’hui complètement morts dans certaines zones à cause des pratiques de pêche destructrices et de la pollution généralisée.